L’un des défis auxquels nous sommes confrontés à Pessa'h est de trouver de la nourriture pour animaux de compagnie qui soit acceptable du point de vue halachique. Un problème concerne Pessa'h lui-même, garantissant que le produit ne contient pas de Chametz et l'autre problème concerne le reste de l'année, où la nourriture pour animaux de compagnie peut être composée de lait et de viande mélangés. La Torah déclare à trois reprises : « On ne peut pas faire cuire une chèvre dans le lait de sa mère ». On en déduit qu'il est interdit de cuire du lait et de la viande ensemble, il est interdit de manger du lait et de la viande ensemble. and it is forbidden to have benefit from milk and meat together.
L'achat de nourriture pour animaux de compagnie à Pessa'h peut être délicat et on ne peut pas toujours compter sur des panneaux d'ingrédients alimentaires. Regarder
pour le blé, la farine concassée, le germe, le gluten, les gruaux, les rebuts, l'amidon, l'orge, l'avoine, les pâtes, le seigle et la levure sèche de bière. Si vous ne connaissez pas la signification d'un ingrédient, n'hésitez pas à contacter votre
Autorité rabbinique. Les aliments pour chiens et chats contiennent généralement de la sauce ou de la sauce Chametz.
Les kitniyos, des légumineuses comme le riz et les haricots, peuvent être donnés aux animaux même si ces ingrédients ne sont pas mangé par les Juifs ashkénazes.
Voici une liste des éléments couramment trouvés sur les panneaux d'ingrédients des aliments pour animaux de compagnie et qui sont autorisés à Pessa'h :
Haricots, sarrasin, riz de brasserie, maïs, sorgho en grains, millet, arachides, pois, riz, carthame, sésame, soja, fleur de soja, tournesol.
Il est interdit de laisser un animal domestique à un non-juif pendant Pessa'h si l'on sait que le non-juif nourrira l'animal Chametz. Puisqu'il existe de nombreux aliments pour animaux de compagnie qui contiennent du Chametz, il ne faut pas laisser son animal dans un chenil à moins que le chenil ne fournisse à l'animal de la nourriture autre que du Chametz ou que le propriétaire de l'animal n'ait stipulé lequel nourriture non Chamets que le chenil peut servir.
Lorsque cela est nécessaire, on peut vendre son animal à un non-juif qui le prendra alors l'animal dans sa propre propriété et en prendre soin en conséquence, ainsi que nourrir l'animal comme il le souhaite. Ce processus doit être effectué sous le direction d’une autorité halakhique.